Pourapaiser les mamelons douloureux, vous pouvez appliquer une compresse chaude sur la zone touchée. La chaleur de la compresse peut soulager l’inconfort et aider à la guérison. – Trempez une débarbouillette dans l’eau chaude. – Essorez-la puis placez-la sur vos seins pendant quelques minutes. – A faire, au moins 10 minutes avant Ceguide complet de phytothérapie, écrit par trois vétérinaires, présente toutes les recettes de base de plantes pour soigner les animaux domestiques et d'élevage : -chiens, chats, lapins Cen’est pas une bonne idée lorsque votre bébé entre en contact avec cette huile. 14. huile d’origan. L’huile essentielle suivante a de nombreuses qualités surprenantes qui correspondent au traitement de la mammite à la maison. Pour en nommer certains, il est analgésique, antifongique, antibactérien et antiviral. 16 Il existe des huiles bonnes pour la santé, les défenses immunitaires, et d’autres pour l’équilibre intestinal, il y en a certaines que l’on mélange aux soins de beauté ou que l’on utilise pour les massages. Eh bien celle issue du chènevis, la graine du chanvre, est d’une ingéniosité incomparable puisqu’elle permet PhilippeRiaux, éleveur à Gosné (35), utilise les huiles essentielles depuis 2010 sur son troupeau laitier. Contre les mammites, mais aussi les diarrhées des veaux. « Depuis que Untraitement antibiotique. Un traitement antibiotique (association amoxicilline/acide clavulanique, érythromycine ou clindamycine) par voie générale durant 14 jours minimum afin d’éradiquer 2 De sacrées économies En trois ans, le groupe a réduit de 53 % le nombre de seringues d’antibiotiques injectées pour soigner les mammites, une inflammation très fréquente chez les vaches. Sélectiondes traitements: homéopathie, huile essentielle et placebo . Juin 2010 : Juillet 2010 . Validation de la sélection des troupeaux et signature d'entente avec les propriétaires : Juillet 2010 . Août 2010 : Information des propriétaires sur les types de mammite, les différents grades . Février 2011 : Février 2011 Laromathérapie (huiles essentielles) et la phytothérapie (plantes), sont des méthodes de prévention et de soins des animaux d'élevage à la fois efficaces et exigeantes. Pour les utiliser Lescauses de la mammite. Elle peut avoir plusieurs causes, que nous pouvons définir comme mécaniques ou infectieuses. causes mécaniques, causée par l’attachement incorrect du bébé au sein de la mère pendant l’allaitement. Cela peut provoquer des micro-lésions de la peau du mamelon ou des fissures, favorisant ainsi l’entrée des bactéries de la peau dans XhxeT. Trente centimes le traitement en acupuncture ou aromathérapie contre 20 à 25 euros en antibiotiques les éleveurs commencent à avoir recours aux médecines naturelles, malgré un durcissement de la réglementation et en s'appuyant sur un engouement de la société pour ces thérapies. "En première intention, j'utilise les huiles essentielles pour soigner" les 65 vaches de l'exploitation, affirme Anne Catherine Brissault, éleveuse à Noyal-sur Vilaine Ile-et-Vilaine, formée à cette thérapie au Centre d'expérimentation et de technologie alimentaire CETA de Rennes. En fonction des symptomes que présente l'animal, cette éleveuse de 36 ans va choisir parmi une quarantaine de plantes, avant de songer aux antibiotiques. De l'estragon ou de l'eucalyptus citronné pour une mammite chaude, de l'écorce de canelle pour une mammite froide, de la cardamome pour une mammite due au stress, de la lavande pour une dermatite, de la monarde pour le vêlage ou encore de la sauge et de la myrthe pour stimuler la reproduction. Il suffit de quelques gouttes et, en termes de coût, les économies sont "importantes". "Les écarts de prix sont flagrants avec les antibiotiques et les hormones", argumente l'éleveuse. Un éleveur utilise des huiles essentielles pour soigner ses vaches, le 29 septembre 2015 dans le Puy-de-Dôme AFP/Archives - THIERRY ZOCCOLAN "Une aiguille coûte 10 centimes et, avec trois aiguilles, le veau est en pleine forme". Pour le même traitement, il faudrait 25 à 30 euros d'antibiotiques, relève Nathalie Macé qui a choisi de se former en acupuncture. Pour cette éleveuse de Maure-de-Bretagne Ile-et-Vilaine qui se plaint de la hausse des charges, le recours à l'acupuncture est clairement un "poste d'économies". Surtout que ça marche. "Mes animaux réagissent moins bien aux antibiotiques. On n'arrive pas à détruire le germe", remarque-t-elle. - De vrais résultats - Dans un rayon de dix km autour de sa ferme, ils sont une dizaine sur soixante-dix à pratiquer ces techniques basées principalement sur l'observation des animaux. "Il y a un véritable engouement" pour les huiles essentielles et "on a de vrais résultats", observe aussi Michel Derval, naturothérapeute, qui a formé 1200 éleveurs en 15 ans, après avoir été sollicité par l'école vétérinaire de Nantes. Le résultat est d'autant plus réjouissant, selon les deux éleveuses, que ces techniques alternatives recueillent l'adhésion des consommateurs toujours plus exigeants sur les normes sanitaires. "Les antibiotiques, ça ne paie pas auprès des consommateurs. Il y a un engouement de la société pour les médecines alternatives", note Nathalie Macé. "Il y a une demande de la société d'aller dans cette direction", abonde Claire Odienne animatrice CETA. Huit fois par mois, le CETA organise des formations de deux jours en aromathérapie depuis 2012 et acupuncture 2017, dit-elle en précisant que des groupes sont ensuite formés pour "permettre aux éleveurs de se retrouver et échanger sur leurs expériences". Claire Odienne souhaite désormais une évolution de la législation dans le cas des huiles essentielles car elles ne sont pas officiellement autorisées à la vente. L'utilisation d'homéopathie et d'huiles essentielles à des fins thérapeutiques est soumise à prescription après examen des animaux par un vétérinaire. "On applique aux huiles essentielles les mêmes règles que les médicaments alors que leur composition change d'une plante à l'autre et d'un lot à l'autre d'une même plante. A ces conditions, il n'y aura jamais d'AMM autorisation de mise sur le marché de ces huiles" comme c'est prévu par l'Anses Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, selon Michel Derval. L'Union européenne a aussi publié en 2013 un règlement imposant le retrait du marché de centaines d'extraits aromatiques végétaux employés en aliments complémentaires. Dans son programme de lutte contre "l'antibio résistance", le gouvernement incite les éleveurs à "développer les mesures de prévention des maladies infectieuses et faciliter le recours aux traitements alternatifs". "C'est vers les vaccins que s'orientent les pouvoirs publics", selon M. Derval. L'utilisation des antibiotiques en santé animale en France, que ce soit pour des élevages ou des animaux de compagnie, a chuté de 37% en cinq ans, dans la foulée de ce plan lancé en 2012. Un plan "Ecoantibio2" qui s'étalera de 2017 à 2021 a été lancé afin de "pérenniser la démarche". +6le ratbibi43centkghtPapy 26fongrabouille10 participantsfonAgrinaute de bronzeAge 33 Papy 26Agrinaute d'orAge 76 Re soigner avec les huiles essentielles par ghislain Dim 22 Jan - 1408bibi43 a écritcentkght a écritle comptoir des plantes , grommonbonne adresse tout le monde dis pas çapar contre dans le catalogue il y a quelques bons produits introuvables ailleurs ceux ou il est dit de ne pas stocker près d’une source de pollutions électromagnétiques.ghislainAgrinaute d'orAge 57 Re soigner avec les huiles essentielles par quoi 29 Dim 22 Jan - 1536Herbe et traditions c'est des huiles essentielles pures = qualité Le Comptoir des plantes c'est plus des préparations et quelques he mais pas certifiée pure Sinon en urgence ou en rupture entre deux commandes tu peux trouver certaines dans les pharmacies quoi 29Agrinaute d'argentAge 52 Re soigner avec les huiles essentielles par Invité Dim 22 Jan - 1846grabouille a écritavez vous des adresses de fournisseurs sérieux parce que ici on les trouve au compte goutte..... normal pour des huilles essentielles... herbes et traditions aussi. ou ma pharmacie de temps en temps Re soigner avec les huiles essentielles par HL 51 Mar 24 Jan - 1847Bonsoir Dans la continuité de l'utilisation de produits naturels, je cherche des utilisateurs de produits Bionature pour avoir des retours concrets.... Quelle utilisation ? Quels produits ? Quels objectifs ? Re soigner avec les huiles essentielles par Barbu Mar 24 Jan - 2049les HE c'est essentiellement de l'huile de tournesol additionnée de quelques gouttes d'HE pures,les commerçants se font des co...les en or .je pense qu'il faut mieux acheter en pharma et diluer soit memeBarbuAgrinaute d'orAge 58 Re soigner avec les huiles essentielles par grabouille Mar 24 Jan - 2101en pharmacie ils sont limité a la fois en quantité et en nbre de he lorsque l'on veut avoir des puresgrabouilleAgrinaute hors compétitionAge 103 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum Le plan écophyto 2018 a pour objectif la division par deux par rapport à 2008 des quantités de pesticides utilisés en agriculture ainsi que le retrait du marché des molécules les plus préoccupantes. Depuis ses débuts, l’agriculture biologique s’interdit l’usage des intrants chimiques. Le plan écoantibio 2017 a pour objectif la réduction significative de l’usage des antibiotiques en élevage. Le cahier des charges de l’agriculture biologique limite drastiquement l’usage des antibiotiques en élevage. Par exemple, la règlementation autorise seulement trois traitements antibiotiques par lactation pour une vache laitière en bio. Les problèmes récurrents autour de la qualité de l’eau -que ce soit une question de nitrates ou de résidus de pesticides-, autour de la qualité des sols, autour des résistances de certaines bactéries aux antibiotiques, sont aujourd’hui reconnus, quantifiés, réputés préoccupants. Par conséquent, les incitations à un usage raisonné, à une diminution, des intrants chimiques, se multiplient mesures agro-environnementales, “plans”, directives… il n’est certes pas question de supprimer mais, au moins, de réduire. Réduire ? Mais comment faire ? Comment faire avec moins, quand on a, depuis les débuts de l’agriculture intensive, été habitué à “traiter” de manière relativement automatique désherbage en pré ou en post semis, en pré-levée, traitement anti-ravageurs au stade X feuilles, traitement fongicide, apport d’ammonitrate à X tonnes par hectare au printemps, traitement antibiotique systématique pour les laitières au tarissement ou en cas de mammite, etc, tout cela à la dose prescrite par le fabriquant. Comment faire, quand on est agriculteur et que l’on a appris ces protocoles à l’école ? J’en atteste, je me souviens, en BTS, m’être trouvée prise entre le marteau et l’enclume. Dans le rôle de l’enclume, un enseignant d’agronomie agriculteur, précurseur de l’agriculture intégrée, passé maitre dans l’art de la réduction des intrants ; dans le rôle du marteau, une correctrice “vieille école” qui soutenait que ces méthodes étaient criminelles car elles créaient précisément les résistances tant redoutées. Je laisserai le lecteur trancher ce débat sûrement aussi idéologique que technique. Moi, note pas terrible et copie pleine d’annotations rouges sous le bras, j’avais allumé l’incendie entre le marteau et l’enclume avec mes questions 1, puis je les avais laissés se crêper le chignon en rêvant d’agriculture biologique. Mais je m’égare. Comment faire, disais-je. Il existe des paysans qui depuis les débuts se passent d’intrants chimiques et utilisent très peu voire pas du tout d’antibiotiques. Ceux qui travaillent en agriculture biologique. On pourrait s’inspirer de leurs méthodes, non ? Pour le désherbage, le désherbage mécanique au lieu du désherbage chimique… Pour la lutte contre les ravageurs, les auxiliaires les coccinelles contre les pucerons, les trichogrammes contre la pyrale… Pour soigner les animaux, les huiles essentielles… Et ainsi de suite. C’est énervant ? Reconnaissons-le, c’est un peu énervant. Car les propos tenus dans les campagnes par les tenants de l’agriculture dite conventionnelle vis-à-vis de l’agriculture biologique et de ceux qui la pratiquent sont loin d’être toujours tendres. Conneries, n’importe quoi, extrémisme, baba-cools, déclinés et conjugués à loisir, j’ai à peu près tout entendu en la matière. Il est donc quelque peu agaçant de voir les auteurs de ces critiques venir gratter à la porte de leurs confrères “en bio” pour savoir comment ils procèdent. D’autant plus agaçant que les critiques ne s’arrêtent pas forcément après. C’est qu’entre la réduction des intrants chimiques et leur suppression avec conversion à l’agriculture biologique, il y a un pas qui n’est pas seulement technique mais également idéologique. Un pas qu’on ne franchit pas en achetant simplement une bineuse ou quelques huiles essentielles. C’est un peu énervant et il est tentant de les envoyer balader. Certains le font “j’ai appris, j’ai travaillé, j’en ai bavé pour en arriver là, vous n’allez quand même pas venir faire ma récolte après m’avoir tant raillé, à votre tour de mouiller votre chemise”. D’autres mettent volontiers leur savoir et leur expérience à disposition, en admettant avec pragmatisme que tout ce qui est susceptible de faire baisser la pression globale de la chimie est bon à prendre. Depuis le temps, ils ont le cuir épais, de toute manière. Ils le vivent même parfois comme une forme de revanche, après des années à se faire regarder de travers. La tentation de l’ironie n’est peut-être pas si loin… qu’importe. C’est un peu énervant mais la bonne nouvelle, c’est qu’on va quand même collectivement vers la reconnaissance de la nocivité des intrants chimiques et vers une réduction de ses usages. C’est un pas minuscule sur le chemin qui mène à la sagesse, un pas insuffisant mais un pas tout de même. Et ce chemin, c’est l’agriculture biologique qui l’ouvre fièrement devant nous. Empruntons-le.

soigner une mammite avec des huiles essentielles